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double face : Kate & Clea sosie : Anthony Mackie dialogue en : #6699cc remerciements : Olympia (ava) ANAPHORE (sign) p'tit nom : an zireael (Adèle) balles tirées : 204 en cavale depuis le : 06/11/2020 bougies soufflées : 40 ans double identité : The Falcon - à également été Captain America. gagne-pain : . ligne de coeur : Célibataire génome : Humain optimisé par le Cube Cosmique
| Sujet: Fear has many eyes and can see things underground. ☽ Marrow Lun 16 Nov - 3:03 | | |


fear has many eyes and can see things underground @Sarah M. Seaver | If you shut up truth, and bury it underground, it will but grow. ✶ Cela fait de bien trop nombreux mois que Susan observe sans rien dire, qu'elle agit pour cette agence qu'elle méprise tant. Jouer un rôle dans un film est une chose, mais devoir complètement s'oublier et faire semblant d'avoir des idées toutes autres que celles que l'on a toujours eu, c'est compliqué. Elle n'a jamais rien dit jusqu'à présent et elle est la cause de certains emprisonnement, elle a même quelques morts sur la conscience, simplement parce qu'elle est restée là, immobile, à ne pas intervenir. Elle ne peut juste pas griller sa couverture. Ce n'est pas le moment, c'est beaucoup trop tôt. Pourtant, cette fois-ci, elle a refusé de rester sans rien faire. Pourquoi maintenant? Pourquoi sauver les Morlocks? Parce qu'elle n'en peut plus, et les Morlocks n'ont pas du tout influencé sa décision, ils sont juste... plus chanceux? Elle ne sait pas trop si c'est de la chance, elle ne sait pas trop si son aide changera grand chose, elle ne sait même pas si elle parviendra à les contacter sans être suivie. C'est un risque à prendre, mais Susan a toujours pris des risques. Celui-ci ne sera pas le premier, ni le dernier. Elle aura passé la journée à travailler sur le dossier en parallèle aux autres. Celui-ci a attiré son attention en partie parce que les égouts de New York sont un endroit peu surveillés. Qui irait s'intéresser à ce qu'il se passe en dessous du bitume? C'est pour cela que l'ont retrouve énormément de trafics en tous genres là-dessous. Ce n'est pas pour autant que la police ou toute autre forme d'autorité s'est décidée à installer une surveillance constante, comme s'ils préféraient fermer les yeux. Ce qui est étonnant, c'est que l'AIM n'ait pas commencé par cet endroit pour chercher des fugitifs. Si Susan – ou plutôt Jane – était réellement là pour aider l'organisation, elle leur aurait fait remarquer cette stupidité dans le document. Ils ont remarqué du mouvement dans une petite zone souterraine du Nord de Manhattan, alors qu'il y a de très fortes chances que tous les égouts soient occupés. Elle compte bien se garder cette information – ou plutôt cette théorie – pour elle. Elle analyse le document en détail pour connaître ce qui est prévu pour l'intervention. Mais ce soir-là, elle descendra d'elle-même pour leur donner une chance de s'en aller. ☽☽☽ Elle fait les cent pas dans son appartements en attendant que la nuit tombe. Même si elle peut aisément se rendre dans les sous-terrains, elle préfère y aller de nuit. C'est un risque en moins. Elle ne voudrait pas qu'un regard indiscret la surprenne en train de devenir invisible au détour d'une rue. Alors que de nuit, il est plus aisé de prétendre que la personne a mal vu. Elle est un peu angoissée. Depuis tous les mois passés au sein de l'AIM, elle n'a pas agit de la sorte. Elle est presque plus stressée que lorsqu'elle part en mission pour le compte de son propre ennemi. C'est devenu comme une habitude. Elle craint même de finalement être complètement embrigadée dans leur idéologie stupide. Elle a peur que ça finisse par arriver, mais c'est une possibilité qu'elle a envisagé avec Ben à l'époque où elle a décidé de simuler sa mort. Quand elle y repense, quelle décision stupide... Il n'y a pourtant pas moyen de faire machine arrière, sinon elle aurait utilisé ce joker pour revenir avant l'explosion du bouclier. Le monde allait mal, elle le sait, elle est la première à la reconnaître car il n'y avait pas une seule minute de véritable répit pour Susan et sa famille en tant que Fantastiques. Mais le monde est bien pire. Elle le voit chaque jour. New York qui était un nid à criminels a vu son taux de délinquances tripler au cours des deux dernières années. Il n'y a plus de héros pour les empêcher d'agir. Et est-ce que l'AIM décide de faire le boulot à la place de ces derniers? Absolument pas. AIM ne sert que ses propres intérêts. Et la police... Toujours aussi facilement corruptible. La monde va mal. Finalement, la noirceur de la nuit s'installe dans les rues New Yorkaises et Susan quitte son appartement doucement, discrètement. Rien, personne ne semble observer le pas de sa porte. Il n'y a aucune raison pour ce que soit le cas, mais elle est constamment en alerte. Pas de caméra, pas de drone, rien. Alors elle se rend invisible, son corps tout entier ainsi que ses vêtements chauds pour l'hiver. Elle repense encore à ses débuts, quand elle ne maîtrisait pas ses pouvoirs et que seul son corps était invisible, jusqu'à ce qu'elle découvre qu'elle influait également sur son environnement si elle le souhaitait et si elle était suffisamment concentrée. Elle quitte donc l'immeuble par la sortie de secours et se dépêche de se rendre à l'ouverture menant aux égouts. Celle qui est à deux blocs de son immeuble est ouverte constamment depuis quelques jours, elle l'a remarqué et elle préfère l'emprunter, car c'est une manière d'éviter que quelqu'un ne voit la bouche s'ouvrir toute seule. Elle regarde par dessus son épaule. Personne ne peut la voir, mais c'est un réflexe stupide. Et là voilà de l'autre côté du décor, dans les égouts desquels émane une odeur atrocement insupportable. Elle crée un léger champ de force autour de sa tête, comme une bulle, pour éviter d'avoir à supporter l'odeur, au moins le temps de trouver un interlocuteur. Elle ne se rend évidemment pas là où l'AIM a décidé de frapper d'ici quelques jours, parce que ce serait comme se jeter dans la gueule du loup, mais elle arpente des centaines de mètres en sous-terrain pour trouver quelqu'un. Elle arrive alors au niveau d'un petit groupe de mutants après avoir marché plusieurs dizaines de minutes. Ils sont au nombre de trois. Elle les écoute, surveille leur conversation, juste pour s'assurer qu'ils soient bien des mutants, ceux qu'elle recherche. L'un d'eux a le corps tout gélatineux, tandis qu'un autre a une apparence encore moins descriptible. Puis il y a cette femme dont les os semblent sortir de sa peau. Elle se rend de nouveau visible et un regard se pose sur elle. Elle lève les mains en l'air pour montrer qu'elle n'est pas armée, qu'elle vient en paix, en espérant que ce soit suffisant pour avoir la chance de discuter. «Je viens en paix. Je viens juste pour vous annoncer que vous êtes en danger. Qui est responsable de ceux qui se font appeler Morlocks? Je dois lui parler.» Elle évoque le nom de Morlocks pour montrer qu'elle sait qui ils sont. Elle demeure prête à se défendre si jamais leur réaction est pire que ce qu'elle espère. Elle n'est pas en terrain ami, malheureusement. Les mutants des égouts de New York n'ont jamais vraiment été des amis des héros, des terroristes, et pourtant, c'est bien eux qu'elle a décidé de sauver. Qui sait, avec un peu de chance, dans le futur, elle parviendra à les convaincre de se ranger du bon côté, mais là n'est pas la question pour l'instant. Ⓒslytbitch. |
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| Sujet: Re: Fear has many eyes and can see things underground. ☽ Marrow Ven 5 Mar - 23:49 | | | ▬ J'en ai marre!
Je me retourne, lance une oeillade vers le cri de mécontentement et je trouve à peine la force d'envoyer une menace silencieuse, pour éviter qu'ils ne s'en aillent, pour éviter qu'ils ne se fassent tuer en haut, pour éviter qu'ils ne nous fassent tuer, en haut. La nuit n'est plus une accompagnatrice sûre. Quand hier elle masquait les traces de nos pas et étouffait les chuchotis indiscrets, elle n'est désormais qu'un voile sur nos yeux et elle dissimule nos ennemis humains et mécaniques à nos yeux fatigués. Je vois dans l'obscurité d'en bas qu'ils se lassent d'attendre et la fin qui nous attend ici ne leur semble guère préférable à l'inconnu qui les guette s'ils vont se promener sans précautions. Je passe la main dans mon cou, jugeant égoïstement qu'une visite par la ville ne serait quand même pas de trop. Autant pour moi que pour eux. Pas pour prendre l'air oisivement mais pour ramener de quoi se soigner et de quoi manger. Nous ne pouvons pas attendre de crever de faim, simplement. Sans parler de l'état de nos pouvoirs qui risque chaque jour de nous foutre dans la merde. Et la merde, ça pue. Les lendemains semblent creux, alors que je me lève, je songe qu'il faudra peut-être emmener avec nous ceux qui viendront un jour nous déloger. On ne pourra pas se laisser prendre, comme un troupeau qu'on viendra embarquer pour l'abattoir. Quand ils viendront, on devra tous les emporter avec nous. J'ai envie de croire que ce jour ne viendra pas, qu'on pourra rester le plus longtemps possible ici. Je ne réponds pas aux questions, choisis d'avancer en direction d'une des sorties les moins craignos. Trois me suivent. Deux cent-six. C'est le nombre d'os que nous possédons. Ce ne sont pas mes doigts qui rappent contre les parois crasseuses. À fur et à mesure que ma mâchoire se crispe, ce sont les longs doigts osseux qui jaillissent de mon corps qui dessinent des sillons imparfaits. Nous sommes quatre, si nous ne sortons pas, qui le fera? Je me redresse sensiblement. Éloignons-nous, et nous aviserons lorsque nous aurons le nez dehors. Au fur et à mesure que nous progressons, Larry marmonne combien il serait important qu'il aille «veiller sur les autres». Un soupir, et je l'y autorise pour nous libérer de ses gérémiades. Finalement, je décide de lâcher prise et de laisser ma silhouette se déguise en un porc-épic déformé, mes mouvements étant gênés par le poids mal réparti sur mes membres. La chair se déchire comme un tissu, je laisse s'échapper une plainte que j'essaie ensuite de camoufler en gueulante pour une raison factice, un truc dans la flotte à nos pieds, un rat qui passe dans nos pattes, on s'en fout. ▬ On devrait rentrer, c'est trop dangereux en haut.
▬ Toi aussi, tu veux te défiler? que je siffle finalement entre mes dents. Bien sûr qu'on a peur, qu'on voudrait rester en bas, on n'est pas certains de rentrer. Mais crever de faim en bas? À un moment donné, ils sortiront n'importe comment, ils verront plus le danger. Il faut qu'on y aille. Il faut qu'on y aille. Putain Marrow, qui t'essaies de convaincre comme ça? Je passe la main contre mon visage, sentant leurs regards inquiets me suivre dans la pénombre. Je devine leurs expressions gênées. Je suis leur leader, je devrais les guider mais je ne veux pas les envoyer en haut. Les Morlocks doivent rester dans les égoûts, c'est ici que nous sommes en sécurité. Je me penche en avant, profite de la lente descente d'un gros mollard pour prendre le temps de réfléchir à mes mots: Je sais, ouais je sais. J'ai pas mieux à proposer. On va faire un truc facile, avec des choses légères à porter et on rentre. Ça vous va? Ils ne sont pas rassurés, enfin ils ne le font pas sentir du moins. Je détâche une pointe osseuse de mon flanc et l'écarte d'un vague mouvement du pied. Les encourageant à reprendre, je leur rappelle l'importance de s'éloigner. Soudain, une apparition. D'un mouvement brusque, je stoppe Carl et semble même entendre les vibrations de son ventre alors qu'il se fige près de moi. Une femme, une inconnue. Je penche la tête sur le côté et m'éloigne de mes comparses pour éviter de les blesser en restant trop près d'eux. Se faisant, un pas vers l'étrangère me permet de distinguer quelques détails supplémentaires. On ne la connaît pas. Je ne la connais pas, et ça, j'aime pas. Elle lève les mains, ce qui n'éveille en moi aucune sorte de confiance. Ceux qui se défendent avant même d'avoir ouvert leur gamelle, c'est qu'ils sont déjà coupables non? J'affiche une tête renfrognée alors qu'elle commence, de sa voix soyeuse, à expliquer pourquoi elle vient traîner par ici. De toutes évidences, elle nous cherchait. Si elle n'avait pas été mutante, pour sûr que j'aurais déjà essayé de l'embrocher mais elle a gagné quelques minutes. Si elle est l'une des nôtres, elle a le droit à la parole. Je cale mes mains contre mes hanches et écarte les jambes, prenant un peu plus d'espace. ▬ Je viens en paix. Je viens juste pour vous annoncer que vous êtes en danger. Qui est responsable de ceux qui se font appeler Morlocks ? Je dois lui parler. ▬ No entendemos lo que dices, dis-je avant d'écarter les bras, l'air faussement navrée. Je penche la tête sur la gauche sans la quitter des yeux puis continue à l'intention de mon frère Morlock: dile que eres tu el jefe de nuestro grupo. Quiero saber lo que quiere ella hacer conmigo... Mon compagnon de gauche fait deux pas en avant, l'air décidé et les poings serrés pour se donner contenance. Sans le regarder, je vois quand même ses bras trembler sensiblement. Quelqu'un est venu, jusqu'à nous, dans le ventre de la bête. Quelqu'un est venu, jusqu'à nous, prononcer notre nom et nous parler d'un danger. Nous ne sommes pas prêts. J'attends une seconde et comme j'aimerais ne pas mourir de vieillesse avant la fin de cette conversation, je croise les bras sur ma poitrine et je demande: ▬ Le 'responsable' est pas disponible, qu'est-ce qu'elle lui veut? Je fais un pas dans sa direction, essaie de jauger un peu où je peux l'atteindre facilement. Je viserai la cage thoracique, si j'arrive à lui enfoncer au moins deux ou trois os dans la poitrine, elle n'arrivera pas au bout du tunnel et d'ici, pas sûr que ses cris alertent qui que ce soit. Est-ce que quelque chose capte ici? Je ne crois pas. Je me souviens encore de cet adolescent abruti qui s'était perdu il y a trois ans alors qu'il faisait sa maudite vidéo d'exploration. Je ne sais pas ce qui m'a satisfait le plus: voir Donald atterrir sur son épaule ou l'entendre hurler à la mort quand il a senti notre petit camarade à quatre pattes lui sniffer l'oreille. Bref, concernant la blonde, trop tard pour dire qu'on ne sait pas qui sont les Morlocks, de toutes façons. On ne va pas perdre notre temps. ▬ Y'a plus personne ici depuis des années. Qu'est-ce que tu voulais, à part menacer les Morlocks?
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| »Marrow ▬ Sarah »Marrow || On dirait que je suis tombée sur un os »clea ☽ show no fear for she may fade away »Hit'em right between the eyes - Molly Hayes »i wept bitterly, surrendering momentarily to my fear ☽ jessica drew
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